Zlatan Ibrahimovic a reçu une statue à son effigie, mais ne sentirait pas si bien que ça à Manchester United…
Lundi soit se déroulaient la cérémonie, du « Guldbollen », récompensant le meilleur joueur suédois de l’année. Et encore une fois, comme depuis 2007, Zlatan Ibrahimovic l’a emporté.
« Je suis très fier, heureux et touché, wow et merci la Suède », a déclaré Zlatan, qui a aussi révélé une info assez zlatanesque : une statue à son effigie sera bientôt construite à Stockholm : « Après vingt ans de dur travail, je vais avoir une statut de moi-même dans la capitale de Suède. Qui d’autre de toute façon ? », traduit ainsi BFMTV.
https://www.instagram.com/p/BNFokBCBaLY/?taken-by=iamzlatanibrahimovic
Au PSG, Zlatan Ibrahimovic avait souhaité remplacé la Tour Eiffel par sa propre statue, mais ça ne se fera finalement pas…
Le ville de Stockholm n’a pas encore précisé quand cette statue serait érigée, ni où…
A Manchester United, le joueur passerait en outre des jours difficiles. « Mourinho a été décisif dans mon choix. L’équipe pour laquelle j’ai signé cet été n’est pas aussi forte que celle que j’ai laissée cet été, mais quand Mourinho m’a appelé, la décision était facile à prendre », dit-il dans la presse suédoise.
« Si je veux rester ? On verra. Ce n’est pas juste une question de football, il y a aussi d’autres paramètres. Comment je me sentirai ? Physiquement ? Mentalement ? Mais ce n’est pas un problème. Je peux encaisser. Il y avait beaucoup plus de pression au PSG », dit-il, avant d’évoquer un avenir en MLS la saison prochaine.
« La MLS est une grosse option pour moi. Pour le football et tout le reste. Je peux m’imaginer conquérir les États-Unis comme je l’ai fait avec l’Europe. Beaucoup de joueurs restent dans leurs clubs, mais moi j’ai voyagé, comme Napoléon, et j’ai conquis chaque nouveau pays où je posais le pied. Alors, peut-être que je devrais faire ce que Napoléon n’a pas fait, c’est-à-dire traverser l’Atlantique et conquérir les States aussi ».
Visiblement, Zlatan Ibrahimovic regrette son départ du PSG….
