Le polémiste de RMC Sports estime que le PSG doit se séparer de Serge Aurier. Et estime que Rabiot et Kurzawa peuvent poser des soucis dans le futur.
Periscope et performances en berne… Pour Daniel Riolo, Serge Aurier n’a plus le niveau du PSG. « Serge Aurier n’a rien à envier à Bernard Mendy, je le pense toujours. Il a régressé depuis son arrivée au PSG. Il y a eu Periscope avec le choix incompréhensible du coach de le faire jouer face à City. Avec cette affaire, il a foutu le bordel partout dans le club. Il a mis une pression exagérée sur le Club et le vestiaire. Des soucis qu’un club qui a des ambitions aimerait ne pas avoir ».
Il poursuit : « Il revient ,il n’est pas bon, derrière il a encore une histoire. Il va au Tribunal. Contre Arsenal, il fait une bonne première manche, il a des problèmes de papiers au retour, il ne peut pas jouer à cause d’un casier chargé. Tout cela pèse. Un club doit se passer de ce genre d’élément. Toute son année 2016 ne ressemble à rien du tout. Son année est pourrie, il coûte la qualif’ et il est impliqué dans trois histoires… Je passe le match à Toulouse où ce qu’il fait est catastrophique ».
« Cela illustre ce qu’il est : capable de tout et de rien. Il est capable d’exploser un côté et de faire un centre pourri. Comme il se replace mal, il est toujours obligé de faire des tacles dangereux. En plus, c’est une personnalité négative. Il est négatif pour le vestiaire. Son mental de racaille est un problème. C’est un leader négatif pour le vestiaire », estime-t-il.
Mais pour Daniel Riolo, ce n’est pas tout : Kurzawa et Rabiot sont aussi des soucis en puissance : « Il y en a d’autres comme Kurzawa. Il a dégoupillé à Paris, il se prend pour un autre le gars ! Rabiot, on va voir. La consommation de chicha va peut-être devenir un problème. Ce n’est pas forcément bon pour les performances sportives ».
« Quand tu entends que Rabiot passe des nuits entières en boite à fumer ça… J’en reviens à Aurier, c’est un leader négatif pour le vestiaire. Corchia meilleur qu’Aurier ? Oui ! Aurier sera plus fort s’il part à l’étranger. S’il sort de son contexte français et de cette envie de se la raconter. »